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Monsieur 1 / 5

L'aveu
Bonjour je m'appelle Jean, je viens d'entrer en fac et j'ai quitté mon village de province pour rejoindre la capitale. Je n'ai jamais eu de relations avec un mec, juste de petites branlettes avec un copain de classe au lycée. Mais ce n'est jamais allé plus loin que des masturbations face à face, nous ne nous touchions pas. J'ai eu 3 relations avec des filles qui me cavalaient après, je pense qu'elles ont apprécié mais moi cela me laissait indifférent. Pourtant je ne suis pas mal, 1m85, les cheveux noirs et des yeux bleu saphir. J'avais du succès aussi bien auprès des mecs que des filles mais je suis terriblement timide. Aussi ma vie sexuelle est limitée à des branlettes qui aident à libérer mon énergie.
Pour me défouler je fais de la natation, après une séance je suis vidé cela me calme. Somme toute une vie affective nulle, un désir brûlant de faire l'amour avec un mec et la trouille des commentaires sur moi. Mon village est petit et tout se sait, vous avez compris ma misère. J'ai débarqué à côté de Paris, mes parents n'ont pas beaucoup d'argent, ils me louent un petit studio j'ai juste de quoi vivre, donc pas de sortie, pas de cinéma, pas de copain et donc pas possible de nouer des relations. Je sais que ce sont les garçons qui m'attirent mais le poids des conventions me bloque.
Cela fait maintenant trois semaines que les cours ont commencé, il y a des filles dans notre groupe qui ne manquent pas de me faire des avances mais je reste à l'écart de leurs propositions. Les autres mecs du groupe sont sympas mais quand on est ensemble ce sont toujours des histoires de baise, j'évite d'y participer de peur qu'ils ne me demandent de raconter mes aventures. Je serais bien en mal de raconter quelque chose. Il y a quand même Alain, un type de 19 ans comme moi qui lui aussi est très discret, nous avons fini par sympathiser et souvent nous travaillons ensemble. Il est châtain clair, même taille que moi, de beaux yeux bleus, souvent je me suis retrouvé seul dans ma chambre à l'imaginer faisant l'amour avec moi, du coup à chaque fois je finis par me branler pour soulager la tension qui monte en moi. Nous faisons chemin ensemble quand nous quittons la fac, lui s'arrête près d'un immeuble cossu où il a un 3 pièces, ses parents ont de l'argent, il s'habille avec goût mais sans ostentation. Moi de mon côté je rentre dans mon petit studio.
Un soir en quittant la fac nous n'avions pas fini de travailler et arrivés au pied de son immeuble il m'a invité à monter chez lui pour prendre un café et terminer notre travail. J'ai accepté après une hésitation, mais son sourire m'a fait fondre. Il m'a fait entrer dans son appart meublé avec goût, une salle à manger, un petit salon et sa chambre. Mon petit studio aurait pu rentrer dans son salon.
« Installe-toi sur le canapé je vais faire du café. »
Je me suis assis sur un canapé moelleux et entre les coussins, quelque chose était coincé je me suis relevé et j'ai sorti un magazine gay coincé entre deux coussins. Il y avait des photos de mecs en train de se sucer de s'enculer. Ma queue est devenue raide immédiatement et j'ai commencé à tourner les pages, je ne me suis pas aperçu qu'Alain était revenu de la cuisine avec le café. Il était debout blême, j'ai levé le regard surpris comme un enfant la main dans le bocal de confiture.
« Excuse-moi, je suis tombé sur ce magazine coincé entre les coussins. »
J'étais rouge de honte.
« Ne t'excuses pas, c'est de ma faute, je n'avais qu'à ranger ce truc plutôt que de le laisser traîner. Voilà, tu sais tout. J'aime les mecs, promets-moi de garder ce secret pour toi. Tu me le promets ? »
« Oui Alain je te le promets, moi aussi je te confesse que moi aussi les mecs m'attirent, mais... »
« Mais ? »
« Ne te moque pas de moi, je suis puceau. »
« Tu veux dire que tu n'as jamais baisé ? »
« Si avec deux ou trois filles mais je n'y ai pas pris de plaisir. »
« Et avec un mec, tu as essayé ? »
« Non, ce n'est pas l'envie qui manque mais je n'ai jamais osé franchir le pas, de peur de me faire casser la gueule et de me faire traiter de pédé. »
Alain a marqué un silence puis il est venu s'asseoir près de moi.
« Jean il faut que je t'avoue un secret, voilà depuis que je t'ai vu, j'ai eu une irrésistible envie de toi, de te parler, de partager des moments d'intimité, mais j'avais peur de te choquer et que tu me rejettes. »
Un lourd silence s'est installé entre nous, nous étions plongés dans des réflexions intenses. C'est Alain qui a rompu le silence.
« Jean, veux-tu que je sois celui qui te fera découvrir l'amour entre hommes ? »
« Tu veux bien ? Je n'osais pas te le demander, mais tu sais comme je te l'ai dit, je ne connais rien et je suis très timide ne sois pas trop rapide, j'ai un peu peur. »
« Ne crains rien, je ne ferai rien que tu ne veuilles faire et puis il faut que tu te dises une chose, nous allons faire l'amour, il ne faut pas avoir peur, ni hésiter à dire ou faire quelque chose. Nous sommes faits de la même façon, il ne faut avoir peur de parler. Je vais te choquer mais écoute, tu as deux bras, deux jambes, un ventre, des seins, des fesses, des couilles, une queue, un trou du cul il ne faut pas avoir peur de dire des mots simples, c'est tout. »
Là il a passé son bras par-dessus mon épaule et m'a rapproché de lui j'ai posé ma tête sur son épaule et je me suis abandonné. Il a posé ses lèvres sur les miennes, j'étais tendu puis j'ai écarté mes lèvres sa langue est venue à la rencontre de la mienne et nous avons échangé un baiser d'abord timide puis d'un seul coup passionné c'était comme si un ouragan c'était déchaîné. Je fermais les yeux j'étais devenu sa chose. Il m'a caressé la poitrine puis il a glissé sa main sous mon sweat-shirt pour venir flatter mes tétons. Sa main est descendue sur mon ventre, j'étais tendu mais je voulais qu'il continue. Sa main s'est faite insistante il a glissé sur ma braguette et a commencé de me masser la queue à travers le tissu, ma queue me faisait mal tant elle était raide. Tout en continuant de m'embrasser il a glissé sa main entre mes cuisses et est venu me masser les couilles, je ne savais plus où j'étais, je redoutais la suite tout en ayant envie qu'il aille plus vite, je ne bougeais pas. Il a ouvert ma ceinture, a fait glisser ma fermeture éclair. Ses doigts sont venus me caresser la queue et les couilles à travers mon slip, je bandais à mort. Il s'est dégagé de moi, je fermais les yeux, ses doigts se sont glissés dans mon slip et j'ai senti qu'il sortait ma queue. Je fermais toujours les yeux, j'étais gêné, il a commencé de me masturber quand soudain j'ai senti sa bouche qui entourait mon gland, sensation divine. L'impression que ma queue devenait une torche incandescente, il a commencé à faire des va-et-vient sur mon membre, c'était la première fois qu'on me faisait une pipe, j'avais l'impression d'arriver au paradis.
Sa bouche a quitté ma queue, je ne bougeais toujours pas j'attendais.
« Jean. »
« Oui. »
« Ouvre les yeux et regarde ce que je te fais, n'aie pas honte. »
J'ai ouvert les yeux te je l'ai vu qui reprenait sa fellation en me regardant droit dans les yeux, j'ai affronté son regard, ses yeux brillaient d'un feu intense où se mêlait la joie. Moi de mon côté je savourais le bien qu'il me faisait en regardant ma queue sortir et entrer entre ses lèvres, j'étais bien. Ses mains sont venues sur mon ventre ont glissé sous mon sweat-shirt qu'il m'a fait enlever sans lâcher ma queue. Il a pris mon pantalon et l'a fait glisser avec mon slip, je me suis retrouvé nu, livré à ses lèvres, à ses mains. Il est venu lécher mes couilles, nouvelles sensations pour moi, c'était la première fois que quelqu'un me léchait les couilles, j'allais de découvertes en découvertes. Puis il a senti que je ne pourrais plus tenir longtemps. Il a arrêté, s'est redressé et devant moi a enlevé son pull dévoilant une poitrine parfaite légèrement musclée, sans poil, puis il a défait sa ceinture, ouvert son jeans et l'a fait glisser à ses pieds. Il s'est débarrassé de son pantalon. Alors il s'est planté devant moi jambes écartées, a posé ses deux mains sur ma nuque et m'a rapproché de son slip tendu par une érection fabuleuse. Mon nez est venu contre sa queue, je sentais l'odeur d'homme, l'odeur de ses couilles. Instinctivement j'ai commencé de mordiller sa queue à travers le slip, de respirer l'odeur de ses couilles de glisser ma langue entre l'élastique et ses couilles, il gémissait de bonheur.
« Oui, vas-y c'est bien, c'est bon. »
L'odeur de son sexe, cette odeur de l'intimité de l'homme a provoqué chez moi un déclic. J'ai laissé l'instinct prendre le dessus sur mes peurs, sur mes doutes, sur mes hontes. J'ai glissé mes doigts sous ses couilles les ai dégagées et je les ai léchées. Il gémissait doucement. Ensuite enhardi, j'ai fait glisser son slip, sa queue tendue au maximum est venue cogner contre son ventre plat. J'ai regardé un instant se sexe magnifique qui bandait pour moi, à cause de moi, j'en étais tout heureux. Les pulsations de son coeur faisaient palpiter sa queue fièrement dressée. Alain ne bougeait pas, ne brusquant pas les choses. J'ai pris sa queue dans ma main j'ai découvert son gland que j'ai approché de mes lèvres. Une perle d'amour pointait de son méat, j'ai humé l'odeur de sa queue. J'ai fermé les yeux, ouvert mes lèvres, il a fait glisser son gland entre mes lèvres, j'ai été surpris, j'avais son gland dans ma bouche et je trouvais ça super. J'ai commencé de le sucer, Alain accompagnait mes mouvements, je faisais attention de ne pas lui faire mal avec mes dents.
« Oui, Jean, c'est bien, c'est bon ce que tu me fais. »
Je l'ai pompé encore un peu puis il m'a dit :
« Viens, passons à côté. »
Nous sommes passés dans la chambre, Alain m'a étendu sur le lit, puis il est venu se mettre tête-bêche et nous avons commencé un 69. Alain me suçait tantôt rapidement, tantôt lentement, je calquais mes mouvements sur les miens. Les sensations étaient trop fortes et j'ai lâché la queue d'Alain pour lui dire que j'allais venir. Il m'a pris les couilles et m'a pompé de plus belle, j'ai senti une onde de chaleur partir de mes couilles envahir ma colonne vertébrale, remonter le long de ma nuque et exploser dans ma tête. Les premières contractions sont arrivées comme une décharge électrique et j'ai explosé dans sa bouche, je croyais que j'allais me vider, tout mon corps était secoué de spasmes. J'étais au bord de l'inconscience, Alain est venue se coller contre moi et m'a donner à goûter mon propres sperme dans un baiser passionné, quand nos lèvres se sont séparées il m'a dit tout doucement et me regardant droit dans les yeux :
« Je t'aime. »
« Alain, c'est la première fois, je suis fou de joie, jamais je ne me suis senti aussi bien, merci, merci, merci. »
Je planais sur un petit nuage quand je me suis rendu compte qu'Alain bandait toujours et j'avais lâché sa queue pour m'abandonner à ma jouissance comme un parfait égoïste. Alain était étendu sur le dos un sourire d'une infinie tendresse illuminait son visage. Je me suis glissé entre ses cuisses et j'ai repris mam fellation. Alain me regardait faire, heureux, il s'abandonnait au plaisir que je lui procurais. Je prenais de plus en plus de plaisir à le sucer et manifestement je m'y prenais de mieux en mieux car au bout d'un moment Alain me dit :
« Arrête, tu vas me faire jouir ! »
Et comme il l'avait fait pour moi j'ai accéléré mes mouvements et dans un cri rauque il a joui entre mes lèvres, c'était la première fois que je goûtais au sperme de quelqu'un d'autre, il avait un goût à la fois âcre et légèrement sucré. J'ai gardé un peu de son sperme que je suis venu lui donner dans un baiser.
« Moi aussi Alain je t'aime. »
Nous avons passé un moment serré l'un contre l'autre comme si quelqu'un menaçait de nous séparer.
« Alain je voudrais que tu fasses de moi un homme, veux-tu me faire découvrir plus ? »
« Jean, j'en meure d'envie, mais je ne veux pas le faire tout de suite, ne m'en veux pas, mais aujourd'hui nous avons fait quelque chose à la fois banal et extraordinaire et je souhaite que la prochaine fois nous allions plus loin, c'est une autre étape, une étape importante qu'il faut préparer, veux-tu ? »
« Tu as raison, c'est pour moi un jour hors du commun, je ne vais sûrement pas dormir en pensant à toi et à ce que nous avons fait ensemble. »
Nous avons continué de nous dévorer, de nous couvrir de baisers, puis nous nous sommes quittés et au moment de partir j'ai vu le magazine qui traînait sur le sol.
« Je peux le prendre en souvenir ? »
« Bien sûr, tiens, attends … »
Il a pris un stylo et à griffonné ces quelques mots :
« Pour mon amour si longtemps désiré, Alain. »
Je l'ai embrassé et ai regagné mon petit studio, je volais au-dessus du sol, cette nuit-là je n'ai pas dormi.
À suivre...
joasinho
64 joasinho
5801 km, Actif
publié il y a 1 an
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Viensamoi
37 Viensamoi
il y a 1 an
Toujours aussi bien écrit et excitant. J'adore
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25mecgay
58 25mecgay
il y a 1 an
Quelle beau récit toujours aussi bien écrit c'est vraiment bandant......
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Lolodu80
56 Lolodu80
il y a 1 an
Beau récit comme d'habitude...
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