Forum de la rencontre gay

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Mon sexe est aussi dur que le pied-de-biche qui m'a ratiboisé la gorge ! Je ne me fais toujours pas à l'idée que cette détresse psychologique et physique puisse m'exciter à ce point. Tout comme David mes yeux sont rivés sur l'établi, et la perspective de me faire démolir par tous les trous avec son jeu de clefs anglaises me donne à la fois envie de fuir et de lui présenter mon cul en offrande… Il relâche enfin mes joues, n'ayant plus aucune emprise sur moi je peux enfin me mouvoir comme je l'entends. J'inspecte mes lèvres du bout des doigts, elles sont tiraillées mais indemnes. Ma gorge n'est pas douloureuse mais quand je déglutis il y a clairement plus d'espace qu'avant… Et il n'est pas dans mon intérêt que ma trachée se rétracte tout de suite… Car son pied, déjà titanesque, est loin d'être la dernière chose qu'il va forcer dans ma pauvre gorge durant ses trois jours de supplice…

David se lève enfin. Ses deux jambes écartées au-dessus de moi, j'ai littéralement l'impression d'être une grosse merde qu'il va éclater, mais eu lieu de ça il me crache au visage et son mollard atterrit près de ma bouche à demi-ouverte. Avec ses orteils, il étale sa morve sur mes lèvres, cette glaire chaude calme mes muqueuses encore brûlantes, j'ai presque envie de l'avoir en bouche à nouveau. Je sors la pointe de ma langue contre mes dents, il sourit et vient y déposer le noyau solide de son glaviot qu'il écrase du bout de son gros-orteil. Je retrouve le sens du goût, le goût de David ! Au-delà des relents de bière et de whisky qui le caractérisent, cette saveur épaisse et boisée enveloppe désormais ma bouche et me ramène à un état de grosse chienne en manque… Je suis complètement soumis à ce mâle alpha qui joue avec sa proie avant de la réduire en charpie.

J'eu le droit à quelques tacles bien violents en pleine face, autant pour essuyer ses orteils glaireux que pour me faire comprendre que c'était loin d'être fini… Il quitte enfin cette position redoutable pour se diriger vers l'établi. Se malaxant le sexe au travers de son short, il ne semble pas décider à choisir un outil. Je me redresse avec difficulté, ne tenant plus cette position allongée qui m'avait éraflée le dos. Je reste assis par terre en prenant appui contre le petit banc qui servait aux agriculteurs pour se déchausser (ironiquement comme David avec ma tête), mais le bruit de mon corps endolori rampant sur les gravillons du hangar sort David de sa réflexion perverse… Grosse erreur de ma part, j'avais bougé sans qu'il ne m'y autorise… En me regardant comme s'il allait me tuer, il agrippe un torchon servant à décrasser les bottes et, d'un coup sec, vient me plaquer la tête contre la surface de l'assise ! J'étais comme une pièce de moteur qu'il allait rafistoler, ou plutôt démonter…

Saisi par la brutalité du choc, je manque de tourner de l'oeil, David profite de cet étourdissement pour me bander les yeux !! Je perds le sens de la vue, et pour parfaire la scène de crime, il me saisit les poignets et me les flanque dans le dos, puis les attache avec ce que je devine être un rislan ou un serflex… A peine ai-je perdu l'usage de mes yeux que mes autres sens sont déjà décuplés, la respiration saccadée de David, qui oscille entre la rage et la folie, raisonne dans mes tympans comme le brame d'un cerf ! Son souffle chaud sur ma nuque quand il serre le rislan me chatouille la peau. Son buste avachi contre le mien me fait ressentir le poids et la fermeté de ses muscles onduleux comme jamais auparavant, ses mains contre mes poignets… Sa peau contre la mienne… Son odeur de poussière de chantier…

Cette proximité soudaine ne laisse pas non plus David indifférent, dans cette position je sens son sexe palpiter contre mon torse, son souffle passe de mon cou à mon visage… Relâchant mes poignets désormais prisonniers, je devine que nos deux têtes se font face dans une intimité encore jamais atteinte… Mais je ne vois rien ! J'entends David déglutir, sa bouche est à quelques millimètres de la mienne, je “ressens” ses yeux contempler chaque parcelle de mon visage, et j'entends son coeur battre la chamade ! Il me saisit par les joues, me pince de toutes ses forces… Avant de joindre ses lèvres aux miennes… Dans un long mouvement suave il me roule une pelle humide et langoureuse, sa bouche ne quitte plus la mienne, sa langue explore lentement les tréfonds de mon palet… Sa bouche me ventouse fermement les lèvres et cela aurait pu être romantique si je n'avais pas l'impression qu'il aspirait mon âme ! Même lors d'un baiser David marque son ascendant sur moi, c'est “lui” qui m'embrasse, et certainement pas le contraire ! Dans un énième mouvement sauvage il m'attrape par l'arrière du cou sans cesser de m'embrasser, et viens poser ma tête contre le sol. Ceci fait et toujours avachi contre moi, il me défait le short et met mon trou à nu ! Ma rosette encore sensible à cause de lui est rose écarlate, il m'a vraiment ruiné le cul sur cette souche, et bien plus encore…

Mon boxer recouvre encore une partie de mes fesses mais qu'importe, mon rectum est désormais accessible, quant à mon short il est tendu au niveau de mes chevilles, que David maintient en l'air tout en admirant (je présume) mon anus sec et fermé ! Les jambes ainsi levées je me retrouve à nouveau le dos en balancier. Comme la première fois David s'en amuse en me faisant chanceler, mais je sens son appui sur la plante de mes pieds se faire douloureusement insistant, il teste ma souplesse ! Sans être contorsionniste j'arrive à m'étirer dans à peu près tous les sens mais jamais de façon prolongée… Je devine trop tard les intentions de David (qu'aurai-je pu y faire dans tous les cas ?) Basculant de plus en plus mes jambes en arrière, je sens mon short me toucher le front, David se lève, tire sur mes chevilles et fait passer le short derrière ma tête. Mes pieds se retrouvent derrière mon cou ! Cette position inconfortable me fait retenir un cri de douleur ! Mes cuisses et mes fesses sont tellement tendues contre mon buste que ma peau est étirée à son maximum. Mais en contrepartie, mon anus est offert dans toute sa splendeur, encore bien plus que sur la souche !!

Positionné ainsi, les yeux bandés et les mains liées, je ne contrôle à nouveau plus rien… PIRE ! Je ne vois plus rien… Je ne suis plus qu'un tronc humain avec deux orifices de chaque côté.

David se lève et je l'entends faire quelques pas vers l'établi, des bruits d'objets métalliques s'écrasent sur la table de travail, suivis de nombreux autres, plus assourdissants encore. David semble faire des “provisions” d'outils, de façon à ne plus y revenir quand il commencera à les utiliser sur moi… EN moi ! Les cliquetis ferrailleux se font de plus en plus nombreux, il fouille dans son armoire de mécano, je tremble de peur… Mais je suis ici de mon plein gré, à moi d'assumer maintenant !

Dans son horrible “sélection” je devine quelques clés anglaises, les plus grosses à n'en pas douter, des 28, des 32… Conçues pour la mécanique des engins de ferme et certainement pas pour mon anus (et encore moins pour ma gorge !). Le manche de sa truelle avait également retenu son attention. Il était énorme et dépassait allègrement les 35 centimètres ! Les autres bruits ne m'indiquent rien qui vaille mais je n'arrive pas à deviner de quoi il peut s'agir. Il revient vers moi et lâche cet énorme barda de métal juste devant l'entrée de mon anus… Si les préliminaires servent à détendre le partenaire, ce fracas métallique me resserre la rondelle et crispe tous mes sphincters. Mon corps me dit de fuir, de me débattre (ce que je ferai malgré moi) mais je ne peux plus rien y faire ! Impossible de relâcher mes muscles, David va devoir m'éclater le trou pour entrer dans mon cul, et plus je serai réticent, plus il sera violent…

Toujours aveugle, je sens les mains de David parcourir mon corps, l'une me saisit par les fesses, son pouce sur ma rosette. Il a tellement de force qu'il me perce l'anus à sec comme s'il éclatait du papier à bulle ! Je hurle à la mort !!! Pourquoi suis-je venu ici ? J'ai envie de pleurer je… “Groumph” …Son autre main s'est enfoui dans ma bouche ! Ces doigts se referment sur ma langue et son pouce m'écrase le menton ! Après m'avoir transformé en “homme tronc” voilà qu'il se sert de mes trous comme de vulgaires poignées, ses doigts remuent à l'intérieur de moi, comme pour s'assurer une bonne prise ! Je crie en pleurant ! Mais ces hurlements de torture déjà ignobles deviennent encore plus sordides avec les doigts de David qui pataugent contre mes amygdales…

Habitué à manipuler des charges bien plus lourdes que moi, Il me soulève par l'anus et la mâchoire comme si j'étais un porcelet qu'on allait pendre avant la saignée… Et je n'étais pas loin de la vérité ! Je ne ressens que douleur et mes cris m'empêchent de comprendre ce que David prépare…

J'ai l'impression d'être un cageot, un sac de viande avarié que David manipule avec dégoût, il me soulève, me retourne en poirier et m'éclate contre le mur ! Mes poignets me transpercent le dos et je beugle de plus bel au travers les doigts de David, le sang me monte à la tête… je suis bel et bien le cul en l'air et la tête au sol, mes jambes rabattues lui offrent mon anus comme une vasque dont le siphon est pour l'instant fermé ! Une chaîne glaciale me parcourt la colonne vertébrale. David libérant ma bouche, je peux enfin hurler comme un goret, j'ai honte de moi car mes cris ressemblent à ceux des cochons que mon oncle égorgeait avec le boucher… Ne croyant pas si bien dire, un second doigt me déchire l'anus, s'y enfonce et s'y replie comme un mousqueton ! Inutile de le préciser, mais je beugle à réveiller les morts… Il me soulève ainsi contre la chaîne, et un crochet s'agrippe au serflex qui me lie les poignets… Ça y est, cette scène qui hantait mes cauchemars devient réalité ! David à fait de moi une véritable carcasse porcine suspendue dans son hangar, je perds le sens du réel pour m'imaginer être “réellement” une pièce de boucherie, prête à l'équarrissage…

Tel un charcutier de profession, David s'assure que le porcelet que je suis soit bien ligoté et pendu, il tire ensuite sur la chaîne et je sens mon dos racler la charpente du hangar ! Ma tête subit le même sort mais je touche du bout de mon nez le short de David… Il a placé ma bouche à hauteur de son sexe, et son regard surplombe désormais ma fragile rosette, offerte à toutes les abominations qui bouillonnent dans son esprit dérangé et dont je m'apprête à subir les affreuses conséquences…

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Merci à Chomekhot34 pour la relecture