Forum de la rencontre gay

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Un souffle chaud et puissant vient s'écraser sur ma rondelle, qui réagit comme une huître qu'on vient d'ouvrir ! L'air qui sort des naseaux de David me brûle les muqueuses anales, à vif depuis cette nuit ou il m'a brutalement éviscéré le cul… Mes poignets sont endoloris à cause du serflex et la pointe du crochet auquel je pends me ronge le dos ! David semble fasciné par ma rosette. Mes jambes, toujours rabattues derrière ma tête, lui offrent l'entrée de mon rectum comme s'il s'agissait d'un évier prêt à être débouché ! Mes muscles fessiers sont si tendus que seuls mes fémurs maintiennent la forme arrondie de mon cul ratatiné…

David me malaxe les fesses comme de la pâte à pain, et je sens le bout de ses doigts mutiler ma rondelle qui se contracte à chaque agression. Je couine de terreur à l'idée qu'il y glisse un doigt, je… “BIIIM” …Un tacle du genou vient me faire taire, il ne veut plus m'entendre chialer, je… “BIIIM” … Un second coup, d'une extrême violence, me démonte la face, juste par plaisir cette fois-ci !

Alors que la pression de ses doigts sur mon anus se fait de plus en plus insistante, je sens son index et son pouce s'attarder en différents points sur ma raie distendue… Mon Dieu ! Il prend des mesures ! Semblant jauger le diamètre maximum entre mes petites couilles et mon coccyx, je suis encore plus terrifié que je ne l'étais déjà ! Que va-t-il me faire subir ? Vais-je m'en sortir indemne..? A l'évidence NON !

Son corps est toujours affalé contre le mien. Ses pectoraux écrasés contre mes cuisses sont durs comme du béton, et son gros sexe face à ma tête retourné ne laisse plus de doute quant à la suite des événements… Au travers de son short, une érection monstrueuse me frappe le visage et se balance contre mon nez, ses mouvements de bassin brassent l'air ambiant et me font enfin profiter des effluves qui émanent de son chibre… Si David s'était fait “tout beau tout propre” pour la soirée du 14, la saucisse que j'avais sur le front n'était plus de toute fraîcheur… Une odeur putride de viande avariée me donne des haut-le-coeur ! David a transpiré des couilles toute la journée, et sa queue baigne dans cette mélasse depuis ce matin, ou PIRE… Derrière cette odeur de macération ignoble, je retrouve néanmoins le parfum d'un gel douche mentholé, ainsi que la douceur olfactive d'un linge séché à grand vent… Mais ces traces de fraîcheur disparaissent en un éclair, étouffé par le fumet acre et graisseux de ses couilles faisandées et pleines de jus !

Je me surprends à baver… NON ! J'ai honte de moi. L'odeur charogneuse de la bite de David me fait saliver. Je ne suis vraiment qu'une grosse pute pour être excité par l'odeur d'un sexe rance et macéré comme celui-ci… J'ai envie de l'avoir en bouche désormais, je veux lui décrasser le gland avec ma langue, lui racler le chibre avec mes lèvres pour en récolter toute la crasse ! Je veux être étouffé par ces grosses couilles saumâtres, j'avalerais toute cette bouillasse de sueur fermenté et quand j'aurais fini mon travail de pute, il me récompensera avec son jus, qu'il tassera à sa guise dans le fond de ma gorge !

Ces pulsions me font tirer la langue à la recherche de ce bout de viande qui me fait tant rêver. Je lape comme une chienne la surface de son short souillé, j'ai l'impression de passer ma langue sur le sol d'un chantier, mais les couilles poisseuses de David on finit par détremper son caleçon et je retrouve avec bonheur la saveur de sa bite ! Mes lèvres trouvent enfin son gland, et au travers du tissu, je commence à sucer toute la sève épongé par son short…

Derrière le torchon souillé qui m'aveugle, mes pupilles se dilatent ! Une texture gluante et adipeuse me remplit la bouche, le miel qui entoure son sexe fétide se mêle à un parfum de linge propre, le tout est assaisonné par ce que je devine être des débris de placo ! J'apparente ce mélange à une nouvelle recette, un peu comme si j'avais pressé le jus des uniformes d'une équipe de BTP et que je m'en abreuvais en me masturbant !

Mes lèvres sont de véritables sangsues harponnées à son gland, je tète son jus tel un marcassin en sevrage et je me trémousse de plaisir alors que je devrais me débattre et tenter de fuir… Ce léger mouvement fait cliqueter la chaine dans mon dos si bien qu'on se croirait réellement dans un abattoir !

J'entends David renifler, presque gémir… il est tellement concentré sur mon anus qu'il en ignore totalement ma bouche de pute affamée qui réclame sa bite ! Je…

“BIIM”... “BIIM”... “BIIM” …

Trois tacles du genou viennent de me détruire l'oreille droite, désormais brûlante, et un acouphène strident me fait perdre l'ouï ! Étourdi par le choc je n'entends plus rien. Il me semble avoir hurlé au troisième coup mais cet acouphène persistant m'empêche d'entendre mes pleurnicheries… Seul David peut en profiter !

J'ai malgré moi libéré son gland, car si David souhaitait le silence lors de ses préparatifs, il aspirait désormais à entendre tous les hurlements de douleur et de terreur qu'ils allaient provoquer en me détruisant l'anus !

Toujours sonné, je sens un torchon m'essuyer le pourtour de la rondelle… David pousse le vice à vouloir me triturer l'anus à sec ! Le simple passage du tissu me brûle déjà les fines muqueuses anales, je suis terrifié mais je ne peux que subir… l'acouphène diminue et j'entends un bruit métallique racler le sol du hangar… Ça y est ! David a empoigné le premier outil agricole avec lequel il va me fourrer à cru ! Se repositionnant contre moi, son sexe vient à nouveau s'aplatir contre mon visage, et le long de mes cuisses, je sens remonter un objet contondant et glacial couvert de terre et de gravier… c'est un manche en bois miteux, sale et ancien, comme on en fait plus. L'embout semble renforcé par un éperon en fonte qui le rend encore plus volumineux ! Le bandeau qui me recouvre les yeux est gorgé de larmes… Sans m'en rendre compte, je me suis mis à pleurer en couinant, et mon état de détresse excite profondément David, qui renifle de plus en plus fort… Il prend plaisir à faire glisser le manche le long de mon corps, de façon à bien me faire ressentir toutes les aspérités de cet outil, “tu devines à quel point ton cul va morfler la ?” Semble-t-il penser, mais comme d'habitude les mots sont inutiles.

L'embout terreux qui parcourt mon corps me procure des frissons de plaisir… j'ai honte à en mourir et beugle de plus belle ! Cette immonde masse de métal finit par atterrir sur mes testicules, avant de me racler la raie dans la longueur ! Je tressaille, je me débats, je gigote ! Des nombreux graviers viennent se perdre à l'entrée de ma rosette, ils vont me déchirer l'anus quand David y forcera le passage ! Plus la nuit avance et plus le sadisme de David dépasse mes pires cauchemars ! Le manche crasseux arrive enfin sur mon trou serré et bien sec ! David tient ce long outils à deux mains, les jambes légèrement écartées, je sens son sexe palpiter contre mon visage, ce qu'il s'apprête à faire l'excite au plus haut point, et m'entendre pleurer et hurler l'encourage comme jamais…

“HAAAAAAARRRRHHHH”

D'un coup sec, David me transperce l'anus d'une violence inouïe et incommensurable ! Ma rondelle explose littéralement autour du manche et les gravillons terminent de réduire mon cul en charpie ! David exulte dans un rugissement que je n'avais encore jamais entendu, le cri du Diable en personne ! Je hurle aussi, et nos gémissements conjoints forment un chant tout droit sorti des enfers ! Non content de m'avoir atomisé le rectum, David enfonce rapidement le reste du manche à l'intérieur de mon ventre, je suis partagé entre la douleur des graviers qui me raclent les muqueuses et la violation de de mes sphincters qui explosent l'un après l'autre ! David fulmine de rage et de plaisir, j'ignore toujours avec quel outil il vient de me remplir mais une masse métallique vient s'écraser sur ma rosette, David m'a entièrement empalé avec un outil de chantier dont je n'ose imaginer la longueur !

Je ne cesse de hurler à la mort tout en pleurant, m'arrêtant à peine pour reprendre mon souffle, la tête toujours retournée, mon visage s'est enduit de morves et de larmes… je sanglote tel un enfant qu'on vient d'abandonner, et mes gémissements me font à nouveau honte, mais je n'arrive pas à les stopper. Le sexe de David est plus dur que jamais contre ma joue et son gland dépasse désormais de son short. Si l'odeur était déjà fétide le sexe recouvert, elle est désormais insoutenable, car de son gland émane une odeur de charogne en putréfaction ! Dans sa déferlante de violence, David m'empale également la gorge sur son sexe répugnant et poisseux, ses coups de bite sont si féroce qu'il explose ma tête contre la paroi du hangar à chaque coup de reins, si bien que les planches qui constitue le mur manquent de céder ! Que je ne me sois pas évanoui relève presque du miracle…

Tout en me limant la gorge comme un démon, David s'évertue à me détruire l'anus avec le manche emprisonné dans mon rectum. Ce qu'il me fait subir est une véritable boucherie, il me farcie le cul avec rage et semblent vouloir réduire mes sphincters en purée ! Un à un ils cèdent et ne se referment plus, a commencé par mon anus, que je sens rester béant lorsque l'éperon pointu du manche sort enfin de mon rectum… “Bloop” ! Un bruit de ventouse accompagne l'extraction de l'outil que j'ai dans les fesses, ma rondelle reste belle est bien ouverte et je sens la moiteur de l'air ambiant caresser les parois de mon rectum. David cesse de m'exploser la tête contre la paroi du hangar mais il maintient sa bite bien en profondeur derrière ma glotte, j'ai toute la peine du monde à respirer et je déglutis continuellement une quantité infâme de morve qui, avec mes larme, me recouvre totalement le visage !

David sait très bien ce qu'il fait car chacune de mes déglutitions lui compriment le gland dans ma gorge. Je lutte pour ne pas vomir autour de son sexe ! Au-dessus de moi les coudes de David prennent appui sur mes fesses, je sens son regard parcourir l'intérieur de mon cul ouvert, quatre doigts viennent m'écarteler l'anus ! Je me débats et je hurle mais j'ai la bouche remplie par son chibre, et David vient à nouveau m'exploser la tête contre le mur avec trois coups de bite vigoureux en fond de gorge…

Le cliquetis des chaînes est assourdissant et fait état de la violence des impacts. Sonné par cette énième démonstration de rage, David écartèle mon anus à sa guise désormais, ses doigts parcourent la peau fragile de mon rectum, se délectant des vaines tentatives de mon cul qui essaie de se refermer sur ses doigts. Je l'entends se racler la gorge du plus profond de ses entrailles, un molard épais vient s'écraser à l'entrée de ma rondelle, que David vient immédiatement fourrer dans mon cul ! Ses mouvements de bassin reprennent progressivement, et ma gorge se voit à nouveau victime de ses violents coups de reins. David m'élargi l'anus avec de plus en plus de force, comme ci voulait le faire céder ! J'ose à peine imaginer l'état de ma rondelle ! Ces coup de reins dans ma bouche deviennent irrégulier, son gland se durcit ou point de perdre toute souplesse, il va juter !!

Ma tête explose une ultime fois contre le mur du hangar, David me maintient ce coup-ci contre la paroi, et alors qu'un flot de sperme me remplit la gorge, ses doigts me déchirent l'anus dans tous les sens !! Des tacles du genou viennent accompagner chaque jet de foutre que j'avale tant bien que mal, malgré tout je déglutis un mélange de morve et sperme d'une blancheur indifférenciable. Est-ce à cause de la quantité de jus que David vient de me faire boire ou est-ce à cause de la rudesse de son limage en fond de gorge ? Sans doute un peu des deux…

Il relâche enfin mon anus, toujours ouvert telle une huitre avariée, et le sexe de David sort progressivement de ma gorge, puis de ma bouche… Des gouttes tièdes viennent s'écraser sur mon menton, d'autres le long de mon torse toujours retourné… encore une fois j'avais également juté, je…

“SPLAAAATCH”

Un seau d'eau glacé vient me revigorer l'esprit et le corps, le choc thermique provoque la rétractation immédiate de mon anus et de…

“SPLAAAATCH”

Un second seau d'eau vient faire disparaître toute trace de foutre, de morve et de molard sur mon corps, je tremble telle une feuille morte et j'ai toujours le bandeau sur les yeux… D'une seule main David me libère les jambes, quand de l'autre il éclate le serflex qui me maintenait pendu au mur ! Reprenant lentement mon souffle, je finis par me lever et retirer le bandeau trempé… la lumière m'aveugle un instant… A gauche… À droite… pas de trace de David, mais de la musique se fait déjà entendre à l'intérieur de la longère, comme à mon arrivée (A-t-elle seulement cessé un instant ?)

Ragaillardi par ce brusque final, je m'essuie à l'aide d'un chiffon graisseux trouvé sur l'établi, je suis couvert d'huile de moteur mais au moins je suis sec. Je n'ai étonnamment pas froid et décide de rester en caleçon.

Je m'attends à voir David surgir de nulle part, m'asséner un coup de pied dans les côtes et m'attacher à nouveau pour reprendre sa séance de torture… Mais rien !

J'ai l'impression de n'avoir jamais été aussi libre, comme ses premières nuits d'été ou je me perdais en forêt, me masturbant contre les fougères en fantasmant sur mon équipe de handball… Je me décide à explorer la ferme de David et ses alentours : les stabules en ruines, les fosses de traites abandonnées, et les porcheries encore crasseuses…

Mais ce que j'ignorais, c'est que David n'était pas rentré chez lui… et que des idées sordides et monstrueuses lui venaient à l'esprit, alors qu'il m'épiait dans le noir, à tout juste quelques mètres de moi, tapi dans l'obscurité totale…